Vous connaissez le joueur qui depuis quatre ans cesse de m'impressionner, qui me donne le courage, la force d'avancer dans la vie c'est lui Samir Nasri. J'ai découvert ce minot venu de Marseille il y a quatre ans et maintenant que je l'ai trouvé je suis prête de le lâcher croyez-moi. J'ai beau essayé d'écrire sur lui, ca m'est toujours difficile, la surdose d'admiration que j'ai pour lui doit en être la principale cause, alors aujourd'hui j'ai décidé de jeter ma plume dans l'encre, c'est parti. Découvert dans son club formateur qui est comme vous le savez tous est le club que je supporte, la première fois que je l'ai vu sur un terrain je savais qu'il allait faire des grandes choses, qu'il allait éblouir tout le monde, il avait ce petit truc en plus qui fait que je ne pouvais me tromper. Et tout de suite j'ai su que c'était lui j'ai eu un coup de foudre footballistique je précise bien parce qu'on sait jamais. Et depuis c'est le seul, l'unique qui fait exploser de rire quand il parle anglais avec son merveilleux accent marseillais, sourire quand il dribble, fait des passes décisives, me redonne la pèche quand il marque, que je cherche automatiquement sur le terrain.. Quand il se blesse malheureusement bien trop souvent, c'est le seul pour qui j'ai versé des larmes, trouvez-ca débile si vous voulez mais c'est comme ca. Mais c'est aussi lui qui m'a fait le plus souffrir en partant.. Après avoir été formé, Samir a éclot à l'Olympique de Marseille, il a su faire ses preuve auprès des plus grands. Il a marqué les esprits auprès des marseillais, un gamin qui réussit c'est pas tous les jours mais ce que certains retiennent c'est ce but le 10 septembre 2006 contre l'ennemi le Paris Saint-Germain chez eux, le Petit Prince du Vélodrome prend son courage à deux mains et tentant de marquer le pénalty, le gardien parvient dans un premier temps à le stopper mais c'est sans se décourager qu'il réussit à mettre le ballon au fond des filets.. A ce qu'il paraît il était de partir alors il est parti le 11 juillet 2008 en Angleterre plus précisément à Londres dans le meilleur club de la capitale oui je parle bien d'Arsenal, vous croyez quoi ? De se dire que plus jamais je ne le reverrais dans la tunique bleu.